Trés important
Ma premiére nuit
Aujourd'hui, vous m'avez rendu visite. Je suis venu vous dire bonjour, vous m'avez caressé, tenu dans vos bras et ensemble, nous sommes partis à l'aventure. Tout était nouveau et impressionnant. J'ai eu des câlins, on a beaucoup joué et j'ai mangé plein de bonnes choses. Quel bonheur!
Ce soir, je suis un peu perdu. Il fait nuit et j'ai l'habitude de me coller à ma mère et mes frères. Je ne sais pas où ils sont et pour la première fois, je me sens très seul. Alors, je les appelle, je vous appelle ...
Ma mère vient normalement me voir quand je pleure. Je suis encore petit et vulnérable, alors elle ne me laisse pas seul. Elle me rassure quand j'en ai besoin et me réchauffe. Parfois, elle s'éloigne, mais je sais qu'elle n'est pas bien loin.
Si on vous a dit qu'il fallait me laisser pleurer, je veux vous dire que ca ne va pas m'apprendre à aimer la solitude. Je risque plutôt de la détester. Il me faut du temps, pour m'adapter, pour apprendre, pour prendre confiance. Je ne peux pas faire tout ça en une nuit.
S'il vous plaît, apprenez-moi à tolérer et à aimer la solitude en douceur, comme le ferait ma maman. Si elle pouvait poursuivre mon apprentissage, elle m'apprendrait à tolérer ses absences petit à petit. Grâce à cet apprentissage, je finirai par rester seul en étant apaisé.
Que ce soit la journée ou la nuit.
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Laisser un chiot de 8 ou 10 semaines dormir tout seul est anxiogène pour lui. C'est une expérience difficile qui ne facilite pas son adaptation, au contraire. S'il était encore avec sa mère et sa fratrie, il ne choisirait pas de dormir seul. C'est un apprentissage progressif, par lequel on apprend au chiot à tolérer la solitude. Ce n'est pas lui donner de mauvaises habitudes que de le faire dormir avec nous. Si votre but est qu'il passe ses nuits dans une autre pièce, alors déplacez progressivement son panier vers cet endroit.
Il est important de comprendre que le faire dormir seul est un apprentissage qui est difficile pour lui (pour ne pas dire contre-nature).
L'éthologie nous a montré que le chien est un dormeur social ; il a (généralement) besoin de la présence des autres quand il se repose. Vous avez sûrement remarqué que votre chien se repose là où vous vous trouvez.
Un chiot n'a pas la même capacité d'adaptation qu'un adulte et des expériences traumatisantes à un jeune âge peuvent avoir un fort impact sur sa confiance, son bien-être et ses futurs comportements.
Pensez-y et essayez de rendre son adaptation à la vie dans votre foyer la plus agréable possible.
Tout apprentissage doit être progressif, celui-ci en particulier. Comme un enfant qui va à la crèche ou à l'école pour la première fois, on augmente la durée de séparation avec les parents petit à petit, pour ne pas rendre l'expérience trop angoissante et créer de mauvaises associations (école = angoisse).
Il est très important de continué la socialisation du chiot dans sont nouveau foyé
A ce sujet à l'élevage nous pratiquons l'éducation positive
Vous avez probablement déjà entendu parler de l’éducation positive, mais qu’est-ce réellement ? Il s’agit d’un principe d’éducation qui consiste à récompenser l’animal lorsqu’il fait quelque chose de bien. Ce type d’éducation tentera plutôt de chercher la motivation et la participation du chien pour réaliser certaines actions plutôt que de le faire agir par crainte de la punition.
Quand commencer l’éducation avec son chiot ?
Vous pouvez commencer l’éducation pratiquement au moment de l’adoption de votre chiot. Laissez-lui tout de même le temps de découvrir son nouvel environnement. N’oubliez pas qu’il vient d’être séparé de sa mère et cela représente un véritable choc pour lui.
Ne croyez pas cependant que parce que votre chiot est petit, il ne comprend rien. Bien au contraire ! L’éducation de votre chiot peut déjà commencer dans les premiers jours de son arrivée chez vous. L’idéal est de commencer par des ordres simples et de les répéter un maximum de fois jusqu’à ce que votre chiot comprenne ce que vous attendez de lui.
L’éducation positive vous dites ?
Dans l’éducation positive, on tente de prévenir les mauvais comportements en posant un cadre et des limites claires et invariables et ce, afin d’anticiper les bêtises. En lui créant par exemple un espace où il se sent non seulement bien mais également en sécurité.
Enfin, l’état émotionnel du chien sera pris en compte au cours de son apprentissage (oui oui tout ça !)
Comment faire ?
Comme chaque chien est différent, il n’existe pas une seule et bonne méthode. Le tout est d’observer les réactions de son chien et de tenter de les comprendre. Nous allons cependant vous donner quelques pistes :
La répétition : La répétition est la base de l’enseignement (et cela ne vaut pas que pour les chiens). Lorsque vous éduquez un chiot, il se peut qu’il mette un certain temps avant de comprendre ce que vous lui voulez. L’idée lorsque vous apprenez un nouvel ordre est de bien choisir le mot associé à l’action souhaitée et d’utiliser toujours le même. Si vous choisissez l’ordre « stop » pour appeler votre chien au calme, utilisez toujours ce même mot et n’en changez pas (surtout au début)
Les récompenses : On ne va pas se mentir, la plupart des chiens sont très motivés par la nourriture. Comme le disait Loranne, notre comportementaliste, dans sa dernière vidéo : « Le chien est un opportuniste, il va tout faire pour obtenir ce qu’il veut ». Donc si c’est la nourriture qu’il veut, il va chercher à reproduire les actions qui vont l’amener à cette fameuse récompense (à savoir la nourriture).
Ne négligez cependant pas les récompenses verbales ! Le chien est un animal très sensible aux émotions et aux intonations de son maître. Le récompenser pour son bon comportement en le félicitant vivement aura le même effet qu’une bonne friandise une fois l’ordre acquis.
Vous vous moquiez de votre voisine qui parle à son chien d’une petite voix tirant dans les aigus ? Sachez qu’au plus votre voix part dans les aigus, au plus vous envoyez le signal à votre chien que vous êtes content.
Multiplier les petites sessions : L’entrainement c’est comme les promenades avec un chiot, trop point n’en faut ! Lorsque vous apprenez un nouvel ordre à votre chiot (ou à votre chien de manière générale), privilégiez les petites sessions de 5 à 10 minutes plusieurs fois dans la journée. Votre bébé est encore petit et se fatigue très vite, les trop longues sessions risqueraient de l’ennuyer ou le décourager.
Mettre son chien en situation de réussite et ne pas avoir peur de faire marche arrière :Si votre chiot ne comprend pas tout de suite ce que vous lui voulez, ne vous énervez surtout pas. Essayez d’obtenir le comportement souhaité d’une autre façon (oui, vous avez bien compris : faites diversion). Gardez toujours votre calme et revenez à un ordre qu’il connaît et maîtrise déjà et surtout n’oubliez pas de le féliciter pour sa réussite.
Conclusion
Si l’éducation positive peut paraître plus fastidieuse et prendre plus de temps que l’éducation dite « traditionnelle », elle donne aussi de bien meilleurs résultats puisqu’elle vous aide à mieux comprendre votre chien mais aussi à créer une véritable relation de respect mutuel. Votre chien aura plaisir à répondre aux ordres et à en apprendre de nouveaux (dans la joie et la bonne humeur.
J’ai décidé d'écrire quelques mots sur la socialisation et la quarantaine des chiots suite aux vaccins.
Je reçois beaucoup de questions à ce sujet,
Les chiots quittent l'élevage après 10 semaines, la première ou la deuxième primo vaccination mais la socialisation est loin d’être terminée
Le vétérinaire vous conseillera '' de rester à la maison et ne pas sortir dans la rue jusqu'à ce que la vaccination soit terminée et pas avant 1 mois après la 2éme primo vaccination ''
Et l’éleveur, vous dira de socialiser encore plus car c'est entre 10 et 14 semaines que le chiot va emmagasiner le maximum de stimuli et avec cette double information le nouveau propriétaire ne sait plus qui écouter.
Chers propriétaires et futurs propriétaires de chiots, il y a moyen de continué la socialisation de votre chiot aprés les primo vaccins en toute sécurité comment ?
En fournissant au chiot de nombreux stimuli, promener le dans un sac faite lui entendre des sons différents, des bruits de train, d’avion de cout de fusil ( bruitage pour chiot sur youtube des bruits de pétard de voiture de bus, camion de matériels electrique foreuse etc... et de foule ne l'isoler pas dans une piéce il deviendra peureux au moindre bruits laisser lui entendre les bruits de la maison radio, aspirateur, robot ménager etc...
Allez avec le chiot chez vos amis et votre famille des personnes de différents âges, habillés différemment (chapeau, capuche, lunettes, etc.) Emmenez le bébé partout avec vous dans un sac de socialisation ou une poussette.
Habituer le chiot à la voiture, prenez sont jouet préféré, de la musique douce dans la voiture vous aidera aussi.
C’est une période importante dans la vie du chiot.
Vous ne pouvez pas négliger cette socialisation, un chiot bien socialisé ne sera pas peureux et il deviendra un merveilleux ami pour vous bien dans sa tête et dans ses pattes pour la vie.
J 'espère vous avoir aidé avec ce sujet très important.
"La propreté du chiot"
La propreté... Vaste sujet dont nous pourrions donner des définitions différentes. Pour moi, voici ce qu’est un chien propre : il s’agit d’un chien qui sait faire ses besoins dehors et qui est apte à se retenir pendant une durée raisonnable pour ne pas faire ailleurs.
Cette notion de propreté est une notion purement humaine, il faut donc l’apprendre au chien qui ne peut pas deviner ce que nous attendons de lui.
Pour le chien, être propre veut peut-être simplement dire : ne pas faire là où l’on dort, là où l’on mange ou encore là où l’on boit. C’est un apprentissage qui s’effectue chez l'éleveur avec la mère et qui est effectif lorsque nous adoptons un chiot (de plus de 8 semaines donc). Ce premier apprentissage permet d’obtenir un chiot qui ne fait pas sur son panier et qui ne dort pas dans ses excréments. Néanmoins, pour qu’il s’effectue, le chiot doit pouvoir effectivement quitter le lieu où il dort.
2 - Maturité physique
Quand il est tout petit, le chiot ne maîtrise absolument pas quand il fait ses besoins. C’est d’abord la mère qui stimule physiquement son périnée pour qu’il puisse faire.
Dès 3 semaines, le chiot commence à sortir de lui-même de son lieu de couchage pour faire ses besoins.
A 8 semaines, le chiot commence à se maîtriser et peut se retenir sur de petites durées, mais cette maîtrise est encore imparfaite.
On ne peut donc pas attendre d’un chiot de 8 semaines qu’il se maîtrise plusieurs heures d’affilés.
Cette maîtrise va arriver petit à petit. On ne peut donc pas espérer d’un chiot la propreté d’un adulte et il faut comprendre que le facteur temps va rendre le chiot de plus en plus apte à faire ce que l’on attend de lui.
3 - L’angoisse du chien sale
L’un des principaux soucis présent dans l’apprentissage de la propreté est l’angoisse que cela entraîne chez l’Humain. Avoir un chien malpropre et vivre avec une serpillière à la main, ce n’est pas la vie que l’on désire. Alors quand le chiot arrive, s’accroupi et commence à déposer quelques gouttes d’urines un peu de partout... On se voit déjà avec un chien de plusieurs années déversant les chutes du Niagara au milieu du salon !
Cette angoisse est particulièrement néfaste car elle pousse la personne à faire tout (et n’importe quoi) pour échapper à ce funeste destin. En réalité, cet apprentissage est accessible à tout le monde. La propreté n’est pas quelque chose de rare ou de difficile à obtenir. Cela demande uniquement du temps, un peu de constance et de logique.
Donc il est recommandé de souffler un peu et de lâcher prise pour faire passer cette angoisse inutile afin de ne pas la traîner comme un boulet.
4 - La recette "hund" et pourquoi celle-ci ?
Voici la recette de la propreté que nous vous proposons :
Les 3 règles pour apprendre la propreté
1) Surveiller pour antisiper et sortir a temps
2) Faire des sorties en extérieur aussi souvent que possible
3) Féliciter ce qui est bien pour qu'il recommence
Comme vous pouvez le voir, il n’y a que 3 points et 2 d’entre eux n’interviennent pas directement sur l’apprentissage mais sont là pour gérer l’environnement. L’idée est de provoquer le bon comportement grâce à l’anticipation et les sorties, pour finalement pouvoir renforcer ce comportement. Le but n’est pas d’apprendre la totalité des lieux interdits qui seraient de toute manière trop nombreux mais d’apprendre ce qu’il faut faire... Notons que le chien choisira toujours l’opportunité la plus attrayante (faire dehors et être récompensé, faire dedans sans récompense) et apprendra de lui-même à se retenir avec l’âge.
L’apprentissage voulu étant de faire à l’extérieur, c’est ce qui est félicité joyeusement. Avec de la régularité et de la concentration, cette recette fonctionne bien, que ce soit sur des chiots ou des chiens adultes. Par contre, elle fonctionnera uniquement sur des cas où il s’agit effectivement d’une absence de propreté à cause d’une absence d’apprentissage. Certaines causes peuvent provoquer des problèmes de propreté sans être liées à une absence d’éducation, nous les verrons a la fin.
5 - Pourquoi on ne punit pas
Vous pouvez voir que dans notre methode il n’y a pas de punition. Pas de "mettre le nez dans l’urine", "taper les fesses" ou même "isoler le chiot qui vient de faire une erreur".
Tout d’abord, c’est une question de logique. Pour s’attendre à ce qu’un animal fasse bien, il faut le lui apprendre. Même en désirant établir une éducation basée sur les punitions, on ne peut pas croire que l’animal sera un devin et qu’il aura une chance de ne pas se tromper... C’est donc particulièrement injuste et cruel que de punir des erreurs sans même prendre la peine d’expliquer à l’animal ce qu’il est censé faire.
Ensuite, les punitions ont des effets dont nous ne voulons pas. Dans cet apprentissage de la propreté, nous allons avoir besoin d’établir de la confiance. Le chiot doit pouvoir faire ses besoins à côté de nous, sans crainte, car c’est ce qu’il aura à faire au bout de sa laisse. Quand on punit, on prend le risque que l’animal fuit, se cache, face à notre insu, devienne coprophage,... Et alors l’apprentissage de la propreté devient particulièrement difficile à réaliser.
Punir = se tirer une balle dans le pied !
Soyez bon avec vous-mêmes, soyez cool avec vos chiots et comme ça, l’apprentissage se fera tranquillement...
6 - Truc et astuce : "sortir quand le chien vient de faire"
Alors parmi les trucs et astuces que certaine personne conseille et que l’on peut trouver, c'est de sortir le chiot s’il vient de faire dans la maison.
De maniére généralement ces personnes, s’intéresse beaucoup à ce qu’il faut faire quand le chiot vient de faire à l’intérieur... Ce cas de figure est un cas courant mais malheureusement cela montre juste que l’on n'a pas bien anticipé. En surveillant parfaitement son chiot, on devrait pouvoir limiter totalement les accidents en intérieur, mais c’est vrai qu’on n’a pas toujours les yeux dessus et on peut arriver juste après un accident.
Je ne recommande pas de sortir le chiot qui vient faire ses besoins en intérieur. Il y a un certain nombre de risque qu’il apprenne : "je fais" = "je sors". Il faut comprendre qu’une récompense peut avoir des formes tout à fait variables, tout ce qui fait plaisir au chiot peut être considéré comme une récompense. Quand le chiot vient de faire dedans, il ne faut pas le punir, car ce n’est qu’un accident et ça ne l’aidera pas à comprendre. Mais il n’y a pas non plus de raison de le récompenser ! La meilleure des attitudes est donc, à mon sens, de rester neutre, de nettoyer calmement que ce soit devant lui ou pas d’ailleurs, sans faire de ce moment un jeu. Et c’est tout.
7 - Truc et astuce : apprentissage intermédiaire
Un autre "truc et astuce" est d’apprendre au chiot à faire dedans sur un alèse ou un torchon. Il faut savoir que le chiot apprend facilement et qu’une fois un apprentissage effectué, apprendre quelque chose d’autres est parfois compliqué. Par exemple, les propriétaires apprenant à leurs chiens à faire exclusivement sur de l’herbe, peuvent rencontrer des difficultés à leur faire faire sur du bitume plus tard.
Apprendre à faire sur un journal ou dans une litière ne fait qu’ajouter une étape dans l’apprentissage de la propreté, ce qui ne peut que la ralentir... D’autant plus si on prend en compte ce temps d’apprentissages supplémentaires. Apprendre la propreté, ce n’est pas très compliqué, mais ça demande un certain nombre de répétitions, alors autant essayer de ne pas en perdre en apprentissage inutile.
8 - Truc et astuce : apprendre à se retenir
Un autre truc et astuce dont nous avons déjà parlé, la cage est de forcer le chiot à se retenir, en s’appuyant sur le premier apprentissage : ne pas faire là où l’on dort. Comme nous l’avons vu au départ, le chiot est capable de se retenir très peu de temps au début. Il peut tenir un peu plus longtemps la nuit. Cet apprentissage (se retenir) va arriver avec le temps...
Par contre tous les apprentissages peuvent être détruis. Si le chiot reste assez longtemps pour être contraint de se faire dessus, il apprendra qu’il ne sert à rien d’essayer de se retenir et fera sur lui. Cette astuce est donc tout à fait discutable et peu intéressante.
9 - Obtenir un contexte d’apprentissage
L’une des difficultés les plus importantes pour apprendre la propreté est d’obtenir un bon contexte d’apprentissage. Il faut anticiper, surveiller et sortir régulièrement pour que le chiot soit amené à faire à l’extérieur. Cependant, il peut être dans une phase d’inquiétude envers tout ce qui est inconnu et passer son temps à chercher à rentrer à l’abri, oubliant de se soulager. Il peut au contraire être tellement curieux et attiré par tout, qu’il ne pensera pas à faire ses besoins.
Pour optimiser nos chances, il vaut mieux le sortir dans un endroit relativement calme et ne pas hésiter à attendre un petit moment sur place avec lui. Le temps de sortie des chiots est limité pour éviter des risques liés à la fatigue, mais on peut augmenter un peu ce temps de sortie en restant sur place pour provoquer un "accident" en extérieur et avoir une chance de le récompenser.
Si on a la possibilité de sortir avec des chiens adultes, ils pourront avoir une influence sur le chiot et lui montrer l’exemple. C’est une petite astuce qui peut parfois débloquer certaines situations.
10 – La propreté, est-ce vraiment le problème ?
Enfin, parfois, on s’acharne à tenter d’apprendre en vain la propreté et rien ne semble fonctionner. C’est notamment le cas lorsque l’on se retrouve face à un chiot qui boit trop (que ce soit par stress ou par soucis de santé). Il se retrouve donc dans l’obligation d’uriner très souvent et en abondance. Ce n’est pas optimal pour apprendre la propreté et cela doit vous alerter. Un contrôle vétérinaire est nécessaire et s’il ne trouve rien, il reste la piste du stress dont un comportementaliste pourrait s’occuper.
Il y a un second cas où la propreté (apprendre à faire ses besoins dehors) n’est pas vraiment le problème en réalité. C’est le cas du marquage urinaire en intérieur. Ce marquage permet d’apposer son odeur pour pouvoir se rassurer, montrer que la zone est sûre après une inquiétude, etc, etc. Son rôle n’est pas de "vider la vessie" mais de donner des informations. Le problème n’est donc pas forcément l’apprentissage de la propreté mais ce qui provoque ce marquage (stress,...) et c’est donc cela dont il faut s’occuper.
J’espère que cet article vous aura apporté les réponses que vous cherchiez pour apprendre à votre chiot à se retenir en intérieur et à faire en extérieur. N’oubliez pas de laisser l’angoisse de côté et de prendre cet apprentissage tranquillement. Il n’y a pas de raison d’échouer et si vraiment aucun progrès n’arrive, n’hésitez pas à faire appel à un comportementaliste ou un éducateur canin (en renforcement positif et punition négative) qui pourra identifier les causes de ce blocage et vous donnez les armes nécessaires pour y faire face.
Activité du Chiot
Les promenades
Ne jamais laisser le chiot ou chien même 5 min dans la voiture c'est trop dangereux et mortel
Le danger des piscines
Les chiens, mais aussi les chats, et surtout les chiots sont victimes de noyades accidentelles chaque année dans les piscines,etangs,mares. Elles représentent un réel danger.
Là encore, c’est très souvent parce qu’ils ne parviennent pas à s’extirper de l'eau qu’ils succombent d’épuisement et se noient.
Les piscines doivent être normalement sécurisées. Attention, une bâche de protection n’est pas une garantie suffisante, quelle soit en tissu renforcée ou bien composée d’un matériau plus « dur ». Elle peut tout à fait céder sous le poids de l’animal voire l’empêcher de ressortir de l’eau.
Il existe des « rampes » permettant aux animaux de sortir facilement d’un bassin ou bien encore des gilets de sauvetage ces derniers pouvant tout à fait être utilisés chez le chien lors de sorties en bateau, par exemple.
Mais là encore, rien ne remplacera une vigilance et une surveillance accrue. Et ce dès la remise en marche de la piscine, donc dès le printemps dans certaines régions.
Quelques secondes d’inattention suffisent pour que le drame survienne… Un accident qui va profondément culpabiliser les maîtres. A noter que les réservoirs pour eau de pluie, mares ou etangs lorsqu'ils sont mal ou pas sécurisés, peuvent présenter aussi de trés grand risques.Je connais plusieurs maitre donc les chiots et chiens se sont noyé donc soyez très vigilent
Eau de mer, de piscine… pensez à effectuer un bon rinçage après le bain
Après une baignade, un bon rinçage à l’eau douce est recommandé.
Le sel de l’eau de mer est irritant pour la peau de l’animal, tout comme celui des piscines traitées au chlore ou avec d’autres produits.
En cas de bains répétés, pensez également à renouveler l'antiparasitaire de votre compagnon.